Les habitudes et savoir-faire sont bousculés par des changements de plus en plus rapides. Comment épouser ces mouvements ? Quelques acteurs économiques des Antilles-Guyane ont accepté de partager, l’enthousiasme, toujours présent.

Depuis toujours, la Sara a deux activités : la production de carburant à base d’hydrocarbure et celle à partir de deux turbines. Elle veut développer sa production d’énergies renouvelables. En Martinique, en Guadeloupe et en Guyane.

Seuls les visionnaires audacieux résisteront. L’industrie locale n’a plus d’autre choix que d’exporter.

L’association MASE Antilles-Guyane a été créée en février 2012, l’association organise l’évaluation de ces systèmes au moyen d’un Manuel d’Amélioration Sécurité des Entreprises et la reconnaissance de la validité du système par la délivrance d’une certification.

L’accès au carburant provoque de nouveau files d’attente monstrueuses dans les stations-service en Guadeloupe, en Martinique et en Guyane !

« Nos interlocuteurs perçoivent mieux les enjeux industriels du port ! »

Ils ont été construits par le chantier naval Fusion.

Les industriels de Martinique viennent de porter à la présidence de leur association Hervé Toussay, gérant de La Tivolienne, fabricant de café et confitures.

ALCEA, concepteur et fabricant français de logiciels et matériels pour la sûreté et la supervision du bâtiment, vient d’achever une prise de participation

La Société anonyme de raffinerie des Antilles (Sara) vient de confier pour les trois années qui viennent à PétroServices la gestion de cinq appontements dont trois sont installés en Martinique, dont celui de Bellefontaine, et deux en Guadeloupe.

Afin d’en finir avec les tensions régulière sur le secteur, la collectivité met en place des outils de pilotage et enclenche une demande d’habilitation énergie.

En Guadeloupe, l’Ademe lance une campagne de sensibilisation avec comme objectif d’augmenter les quantités d’huiles usagées collectées.