Selon l’Insee, huit entreprises sur dix créées par des femmes, hors microentrepreneurs, sont encore en activité trois ans après en Martinique.

Pour le déploiement de la fibre, la Guadeloupe a été séparée en trois zones : une blanche, une grise et une noire.

Selon l’Insee, au 1er janvier 2023, la Martinique comptait un total de 2995 chambres réparties dans 46 hôtels.

Selon l’Insee, au 1er janvier 2023, la Guyane comptait un total de 1534 chambres réparties dans 31 hôtels.

Selon l’Insee, au 1er janvier 2023, la Guadeloupe comptait un total de 3252 chambres réparties dans 55 hôtels. En 2019, la destination comptait 3437 chambres réparties dans 45 hôtels. En 2023, les établissements se répartissent de la manière suivante : > 1 hôtel 5* de 52 chambres ; > 11 hôtels 4* soit un total […]

Avoir 80% de la clientèle venant de France continentale, ce n’est plus tenable. Le Covid-19 a montré la fragilité du modèle économique.

La réforme proposée par le gouvernement n’est pas que technique : elle change les bases mêmes de ce qu’est cette pension.

Les tensions et l’inflation qui ont entraîné leur mise en place n’ont pas disparu, voire se sont dégradés. Or, les tarifs appliqués dans les Boucliers Qualité Prix + de Guadeloupe, de Martinique et de Guyane sont garantis jusqu’à fin mars 2023.

Le retard des politiques publiques essentielles explique cette situation paradoxale, favorable au désengagement du commun.

Les méthodes de l’Adie ont fait leurs preuves : reste à lui donner tous les moyens pour toucher plus de clients.

50% des Martiniquais, 56% des Guadeloupéens et 69% des Guyanais sont touchés par la pauvreté. Les mesures ponctuelles sont sans effet sur ce problème endémique.

Selon l’Insee, en Guyane, la fréquentation hôtelière a diminué de 55 % par rapport au 1er trimestre 2019 et les clients ont été principalement une clientèle professionnelle.

Selon l’Insee, 30 % des Guyanais, 28 % des Guadeloupéens et 28 % des Martiniquais ont vu leurs revenus baisser après le premier confinement.

L’Insee met le doigt où ça fait mal !

Après la lecture des résultats de l’enquête sur la qualité de vie des Antillo-Guyanais, plus personne, plus aucun politique ne pourra parler “d’impression” de pauvreté, de sensation de “vie chère” ou encore de “sentiment” d’inégalité !