La Cour des comptes vient d’effectuer un contrôle des comptes des Iedom de Martinique, de Guadeloupe et de Guyane ainsi que de ceux des agences IOM.

Pour devenir efficace, la coopération avec les pays de l’OECO doit s’appuyer en premier lieu du le droit, le transport et la monnaie !

L’Iedom vient de démontrer que les prix sont 33 % supérieurs en Nouvelle-Calédonie par rapport à ceux pratiqués en France continentale.

Aux Antilles-Guyane, l’Institut d’émission réaffirme la mission de ses Correspondants TPE.

Les choses se mettent en place très lentement. Après la crise sociale de mars-avril dernier, l’activité
économique peine à redémarrer. La confiance n’y est pas.

Elle accompagne des TPE en Guyane.

Charles Apanon vient de nous quitter. Ce Martiniquais, financier visionnaire, a été directeur de l’Iédom en Martinique, mais aussi en Guadeloupe et en Guyane. Il connaissait bien et aimait nos territoires. Pour lui rendre hommage, comme un héritage, nous remettons en mémoire une allocution qu’il avait prononcé en 2010 lors d’une rencontre Convergence. Il disait alors que les Antilles-Guyane devaient réagir, sinon ils allaient s’appauvrir. Les événements qui paralysent la Guyane et l’atonie de l’activité en Guadeloupe et en Martinique lui donnent malheureusement raison.

Les responsables Entreprises des agences Iédom de Guadeloupe, de Guyane et de Martinique deviennent des correspondants TPE. Sans le dire, l’Iédom veut combler un vide.

Avec des projets en phase de réalisation, la filière bois se dynamise, mais doit se renforcer pour gagner la confiance des clients.

Une préfiguration particulière devrait intervenir pour l’outre-mer.

La vingt-deuxième rencontre des gouverneurs de banques centrales francophones s’est tenue en Martinique. Ainsi, dix-neuf gouverneurs et soixante de leurs collaborateurs ont ainsi investit l’hôtel Cap Est privatisé pour l’occasion. Cette 22ème  édition tournait autour de la Banque centrale et les risques en mettant en lumière le paradoxe apparent entre, d’un côté, une trop faible […]

« C’est un jour important : tous les responsables économiques de Guadeloupe ont décidé de s’unir pour faire face à cette période compliquée. A aucun moment nous n’avons connu une crise aussi longue, aussi profonde. Nous avons décidé de ne pas crever la bouche fermée !”

Malgré l’atonie de l’économie, les banquiers que nous avons rencontré se déclarent prêts à financer les projets, mais sous certaines conditions. Tour d’horizon des possibilités de financement aux Antilles-Guyane.

Incontestablement, le secteur du rhum agricole a su se transformer pour devenir cette activité conquérante qui marque des points à l’export. Pour poursuivre cette croissance, il doit maintenant entamer sa seconde mutation et travailler ses maillons faibles : imaginer un nouveau modèle d’approvisionnement en canne avec les planteurs, travailler les rendements, redéfinir les contingents et s’adapter aux nouvelles habitudes de consommation.

L’Iédom confirme une reprise difficile de la croissance économique dans les DOM au premier trimestre 2014.