Selon le baromètre des risques de l’assureur Allianz, les incidents cyber sont les premiers risques en 2024.

Alors que la dynamique est enclenchée sur le continent, les projets sont quasi à l’arrêt outre-mer. La législation y est pour quelque chose.

Afin de soutenir les PME-ETI face aux conséquences de la crise sanitaire, plusieurs assureurs ont participé au dispositif mis en place par le ministère de l’Économie, des Finances et de la Relance.

Le ministre des Finances et de la Relance répète à l’envie que la réforme n’est qu’ajournée. Raison pour s’y intéresser. La crise sanitaire et la faible prise en charge de la dépendance incitent aussi à s’y préparer.

Des gestes commerciaux ont mis en lumière des clauses de contrat pas très claires.

Deux ans après, tous les assureurs ont revu leurs méthodes et s’équipent d’outils pour réduire les risques. Les primes augmentent.

Allianz vous donne trois conseils pour éviter de vous retrouver en difficulté en cas de catastrophe naturelle.

Selon les assureurs, dans une région qui cumule les risques naturels, la culture de la prévention doit se développer. La continuation de l’activité devrait être la préoccupation majeure.

Ensemble, assureurs et experts font les constats et préviennent des conséquences. Selon eux, si rien ne bouge vraiment, un chaos pire peut se réinstaller à Saint-Martin.

Loup de Fréminville (Axa Antilles-Guyane) est président. Eddy Pichi (Groupama) , Jean-Louis Morand (Generali), Fabienne Hebreu (Allianz) sont membres de la commission Dommages. Tanja Vanderaspaille (Allianz) est responsable souscription ABR. Rita Famibelle (Assurance Mutuelle Outre-Mer) est responsable sinistres. Evelyne Cusset (AXA Antilles-Guyane) est responsable client service IARD. Cédric Vales (GFA Caraïbes) est responsable des engagements. […]

Les deux cyclones successifs doivent inciter à déployer de vraies stratégies d’anticipation. Loup de Fréminville, président du Comité des Assureurs Antilles-Guyane explique pourquoi. 

Assureurs, banquiers, administrations… :  chacun apporte un bout de la réponse. L’action rapide doit permettre d’éloigner le grégaire.

Dumping tarifaire, gestion des dossiers chronophage, chiffre d’affaires moins important que prévu : les acteurs en reviennent pour l’instant tous de la réforme.

573 Organismes complémentaires d’assurance maladie (OCAM) existent en France, principalement des mutuelles, talonnées par les assureurs qui grignotent également les parts des instituts de prévoyance. Mais quand on y regarde de plus près, quatre grands réseaux sont en train de donner le la au marché.

La mise en place de la complémentaire santé obligatoire pour tous les salariés, était le sujet de l’année 2015. Tous les acteurs de la santé étaient dans les starting-block : les assureurs, les mutuelles et les banques. Tous ont fondu sur le gâteau, et la bataille a été rude.