L’Insee met le doigt où ça fait mal !

Après la lecture des résultats de l’enquête sur la qualité de vie des Antillo-Guyanais, plus personne, plus aucun politique ne pourra parler “d’impression” de pauvreté, de sensation de “vie chère” ou encore de “sentiment” d’inégalité !

Alors que l’Insee pointe que de plus en plus d’Antillo-guyanais sont en situation de privation, le gouvernement vient de prolonger l’assouplissement de l’utilisation des tickets resto.

Les données chiffrées fournies par l’Insee, l’AFD et l’Iédom montrent que l’impact a été violent au 2e trimestre 2020. La prolongation de la crise sanitaire et ses mesures arrivent sur des corps déjà malades !

Avec le confinement, la Martinique et la Guadeloupe ont perdu 3841 emplois salariés ! Confirmation que le BTP est au plus mal selon l’Insee

Les commissaires aux comptes des outre-mer mettent en lumière cette faiblesse qui handicape l’activité économique.

Dans sa dernière livraison des comptes rapides, pour la Martinique, l’Insee, l’AFD et l’Iédom ont constaté une croissance du PIB de 1,2 %, le situant désormais à 24 411€ par habitant.

Avec les étudiants de l’IUT de Saint-Claude, les réponses du secteur économique.

Le séminaire scientifique sur le chlordécone qui vient de s’achever en Martinique et en Guadeloupe lève un voile sur l’étendue de la catastrophe et montre que l’argent manque pour la recherche.

En voie d’amélioration. Partout. L’instabilité de l’environnement impacte sur le bien-être interne. Et les dirigeants doivent encore améliorer leur management.

Un nouvelle étude de l’Insee le confirme.

L’Insee veut pousser le recensement électronique aux Antilles-Guyane, mais il faudra toujours patienter trois ans pour les données validées.

Avec des projets en phase de réalisation, la filière bois se dynamise, mais doit se renforcer pour gagner la confiance des clients.

L’Insee devrait sortir durant le premier semestre 2016 les premiers résultats de la nouvelle étude sur le budget des familles aux Antilles-Guyane.

En moyenne selon l’Insee, les ménages martiniquais consacrent 20 % de leurs dépenses à l’alimentation, 18 % au transport et 16 % au logement.