Selon le Projet mondial sur le carbone (GCP), un programme international de recherche rattaché aux Nations-Unies et à plusieurs agences gouvernementales, à janvier 2024, la concentration atmosphérique de méthane s’établissait à 1 931 parties par milliard, contre environ 420 parties par million pour le CO2.

Les progressions des ventes sont significatives, mais les freins sont encore là, dont le prix et le réseau public de bornes. Le marché est devant deux années de forte croissance, l’occasion se développe et l’essence décroît.

Le courtier britannique Simpson Spence Young vient de mettre en évidence que les émissions de CO2 du transport maritime ont augmenté de 4,9 % en 2021, dépassant même celles de 2019.

Pour ce chercheur guadeloupéen, les sargasses sont une excellente matière première capable de piéger le CO2 en excès.

Le Parlement européen a adopté la réduction des émissions de CO2 de 37,5 % pour les voitures neuves et de 31 % pour les camionnettes neuves d’ici à 2030, par rapport à 2021.

Le transport aérien, gros producteur de gaz à effet de serre, prend son temps pour réduire leur émission de CO2.