Les urnes ont parlé : Après Victorin Lurel en Guadeloupe, Rodolphe Alexandre en Guyane et Serge Letchimy en Martinique arrivent à la tête des régions

Maintenant que les flonflons de la fête politique s’éteignent, l’heure est à la prise de décisions pour relancer les moteurs économiques de Guadeloupe, de Guyane et de Martinique.

En Guadeloupe, en Guyane et en Martinique, malgré la présence de nombreuses listes, une se démarque dans chaque département. Il s’agit de celles menées par Victorin Lurel en Guadeloupe, par Rodolphe Alexandre en Guyane et par Serge Letchimy en Martinique. Nous les avons interrogés pour connaître la vision économique qu’ils développeront s’ils sont élus à la tête de la collectivité. Détail.

Le plus gros organisme payeur européen veut mettre sa technicité aux services de tous ceux qui ont besoin de faire des paiements en masse.

Lors de sa visite à Haîti, Nicolas Sarkozy a annoncé une série d’actions pour aider à la reconstruction du pays. Les Antilles-Guyane françaises font parti du dispositif.

Les Antilles-Guyane sont en grand chantier : de quoi changer bien des habitudes, ébranler bien des certitudes et ouvrir des marchés.

Par une facétie de l’histoire, les mouvements du LKP, du collectif du 5 février, voire celui qui s’est spontanément constitué autour du prix du carburant en Guyane, n’ont-ils pas peser sur la physionomie des listes qui se lancent à l’assaut des régions dans la zone Antilles-Guyane ?

Toutes les listes en position de favori pour les prochaines élections régionales en Guadeloupe, en Guyane et en Martinique reunissent en leur sein des courants de Droite, de Gauche et du Centre

Le risque de disparition dans le trou noir de la corruption des aides et fonds qui arrivent dans le pays n’est pas neutre

Un super coup pour les entreprises de Guadeloupe, de Guyane et de Martinique. Mais à la condition d’être coordonnés !

Un super coup pour les entreprises de Guadeloupe, de Guyane et de Martinique. Mais à la condition d’être coordonnés !

Victorin Lurel lance un plan pour soutenir le BTP

Il y a un an, les Antilles étaient touchées par un conflit social.Par la suite tout au long de l’année, les chefs d’entreprise ont dû prendre des décisions vitales pour leur établissement. Quelles sont-elles ? Dans quel état d’esprit les ont-ils prises ? Ont-elles porté leurs fruits ? Ce qui est certain, c’est que les entreprises n’en sortent pas indemnes financièrement, et la capacité de manager a évolué.

L’heure est à penser à la reconstruction, d’Haïti, mais aussi de nos économies.

Les événements du mois de janvier nous ont fait basculer dans un autre monde