A l’échelle régionale et interrégionale, rompre avec les modes de fonctionnements ayant déjà prouvés leur limite voire, leur inefficacité, ou simplement rendre réelles des initiatives telles que l’URAG créeraient une nouvelle dynamique salutaire.

Des drames se préparent si pas anticipés.

En 2100, pour le Cerema, la situation du recul du trait de côte en Martinique, en Guadeloupe et en Guyane se dégrade encore plus vite.

L’érosion du trait de côte s’accélère partout sur le territoire national, et particulièrement dans les outre-mer.

Pour cet universitaire spécialiste de la modélisation des conséquences du réchauffement climatique, l’État, les collectivités locales et l’université doivent joindre leurs connaissances pour sortir les territoires de l’ornière.

Alors que la dynamique est enclenchée sur le continent, les projets sont quasi à l’arrêt outre-mer. La législation y est pour quelque chose.

La première directrice territoriale outre-mer du Cerema veut développer une approche systémique. Cette transfuge du BRGM veut booster l’adaptation des territoires d’outre-mer au réchauffement climatique.