Tribune

Confiance en la capacité des pays français d’Amérique à dialoguer aussi avec le monde, avec leur langue et leur cosmogonie

La France d’Amérique n’est pas exclue du mouvement de fond où les citoyens sont savamment dépouillés de leur capacité à penser.

Le régime des habilitations législatives et réglementaires semble vouloir aller plus loin que ce qu’a voulu le Constituant de 2003.

La situation en Guadeloupe, en Martinique et en Guyane est une caricature de ce qui se pratique dans l’Hexagone.

L’affirmation identitaire prend le contre-pied de la culture de l’auto-flagellation.

La définition par la couleur de peau, la morbide spirale dont les sociétés antillaises ont encore bien du mal à se départir.

Corse et Outre-Mer même combat ? Pour Pierre-Yves Chicot, le droit est par nature mouvant et lorsque que le libéralisme  économique prend du volume, l’espace politique d’intervention de l’Etat connaît un rétrécissement.

On peut aimer Johnny Halliday indépendamment de son origine ! Une théorie abominable est en train de naître : à combattre absolument !

Pour Pierre-Yves Chicot, cette expression qui devient récurrente au-delà des partis, signe la fin d’un temps. Ne pas vouloir être le Père Noël, c’est aussi signifier qu’il n’y a plus rien dans la hotte.

Pour Pierre-Yves Chicot, le salarié pauvre prospère en même temps que les forces de l’Etat providence s’affaiblissent.

Pour Pierre-Yves Chicot, les pays français d’Amérique patinent, bégaient, traînent en termes de développement. Les serviteurs de l’action publique peinent à se convertir en chantres du développement local intelligent et engagé.

Pour Pierre-Yves Chicot, c’est un député comme les autres. Il doit vivre sa fonction à l’épreuve de la décentralisation.

Les Antilles-Guyane sont traversées par les mêmes tendances que la France continentale.

Pour Pierre-Yves Chicot, les citoyens sont en train de renverser la table en renvoyant à leurs chimères tous les “turfistes sondagiers”.

Pour Pierre-Yves Chicot, la nature de la Ve République connaît un profond changement, ce qui pèse sur le sort de l’élection présidentielle de cette année. Remise en cause du bipartisme posé par la Ve République.