Tribune

Pour Pierre-Yves Chicot, la diffusion savamment orchestrée en France d’une culture de haine conforte les préjugés raciaux.

Pour Pierre-Yves Chicot, la crise du coronavirus a montré la limite du décloisonnement des frontières. Faut-il pour autant tout relocaliser ?

Si aujourd’hui, la force du pouvoir politique en exercice et de la haute administration broie toute forme d’opposition, facilité en cela par des militants élus ou pas serviles et des médias dociles, on ne sait pas quel sera le stade suivant de l’instabilité sociale qui est créée, d’après Emmanuel Todd.

Dix-neuf ans plus tard, les élus reprennent la rédaction débutée en 2001, mais le consensus de l’époque n’y est pas !

Pour Pierre-Yves Chicot, la tentation des citoyens s’improvisant catalyseurs de mécontentement est le signe d’une défaillance de la démocratie représentative.

De structure sociologique, les Antilles-Guyane sont en phase de transformation profonde.

Le numérique est au cœur d’une vaste transformation de la  société.

Pour Pierre-Yves Chicot, revisiter le terme ontologie doit permettre de redonner du souffle a la relation à l’Autre.

Le travail de décolonisation des esprits reste d’actualité pour faire comprendre, y compris aux jeunes générations, que tout moun sé moun.

Pour Pierre-Yves Chicot, le message d’indignation de Stéphane Hessel garde toute sa force une décennie plus tard. L’indigence morale doublée de l’aridité de l’éthique personnelle fait autant obstacle à la diffusion de la richesse matérielle et qu’à la prospérité de la richesse de l’esprit.

Pour Pierre-Yves Chicot, les mouvements sociaux des Gilets jaunes et de mars-avril en 2017 en Guyane présentent des convergences dans leur essence.

Pour Pierre-Yves Chicot, les crises de 2009 ont créé de nouveaux principes de régulation économique outre-mer, mais les acteurs font toujours comme ils l’entendent.

Pour Pierre-Yves Chicot, les populations refusent  le modèle du “travailleur pauvre”.

Pour Pierre-Yves Chicot, les soubresauts qui touchent la France continentale ressemblent à s’y méprendre aux événements
sociaux qui ont touché l’outre-mer en 2009.

“I want my money back !” est le message transmis par le chef de l’Etat à la Guadeloupe, à la Guyane, à la Martinique et à La Réunion.