Questions à …

Selon Malcom Ferdinand, seule la transparence autour du chlordécone permettra son appropriation par la population.

Pour le président coordonnateur du Tribunal mixte de commerce de Fort-de-France, l’absence de dépôt des comptes annuels des entreprises coûte cher à tout le territoire.

Action Logement Martinique met 25M€ pour permettre l’accession à la propriété de 500 jeunes martiniquais de moins de 40 ans. Montés avec l’Etat et la CTM, ces prêts à 25 ans devraient booster l’activité pour les artisans.

Le métier d’assureur se transforme à cause de l’accélération des événements climatiques : s’assurer coûtera plus cher. Stéphane Marcelli

Le PARM veut anticiper les besoins, apporter des réponses personnalisées et innover sans cesse.

Pour le président de la FNTV, le transport de voyageurs par autocars est une réponse adaptée à la transition énergétique.

Pour le président de l’observatoire de la santé des travailleurs indépendants, 99,84 % des entreprises de France sont des TPE et des PME et peu d’intérêt est porté à la santé de leurs dirigeants.

Pour Michel Seyt, président du groupe Klésia, défendre le modèle de la mutualité est un acte de résistance face à la financiarisation.

Pour Christophe Laurent, ancien directeur régional Antilles-Guyane de la Banque des Territoires, l’argent et les projets ne manquent pas ; reste à améliorer les méthodes.

Pour le directeur des agences d’Inter Invest, la loi de finances pour 2024 a ôté des ressources pour financer l’activité économique outre-mer. Et ce n’est peut-être pas fini.

Pour le président de la Fédération des entreprises des Dom (Fedom), avec les évaluations de la Lodéom, de la défiscalisation et de l’octroi de mer, aucun temps ne devrait être perdu.

Pour la sous-gouverneure de la Banque de France, il faut concentrer les investissements sur la connectivité des territoires à leur voisinage.

Après les programmes Jafa et Titiri, l’Ireps Guadeloupe, Saint-Martin, Saint-Barthélemy complète son travail autour de la prévention avec six regards croisés autour de la contamination au chlordécone.

Pour sa présidente, le Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (Cerema) aide à trouver des solutions.

Pour le directeur territorial du groupe SCET chargé des outre-mer, ce sont les décideurs locaux qui doivent porter la vision.