On en parle

Le Conseil régional de Guadeloupe a signé une convention mettant à disposition de l’Association des petites et moyennes industries (AMPI) une enveloppe de 250 000€ pour l’aider à promouvoir les activités de ses adhérents, notamment à travers un salon

Pour revitaliser les centres-villes, des sénateurs Les Républicains et Socialistes préconisent une taxe sur les entreprises d’e-commerce, responsables selon eux de cette désertification.

Les travaux du Conseil de coordination interportuaire Antilles-Guyane n’ont pas avancé en 2017 parce que quatre directeurs généraux se sont succédé au ministère de l’Outre-Mer.

La Cour de cassation commerciale vient de rappeler que le secret bancaire n’est pas un empêchement légitime quand une demande de communication de documents est demandée.

La société de portage salarial Freedom Caraïbes a ouvert un bureau en Martinique depuis ce mois de février.

Le bailleur social guadeloupéen SIG prévoit un plan de rénovation de son parc de 580 M€ entre 2018 et 2020.

La Guyane est en train de construire sa filière volaille. 2 000 volailles seront produites par semaine en phase de démarrage.

Le député de la Guadeloupe Olivier Serva s’est vu confier une mission “Retour des forces vives au pays” par le Premier ministre.

Toujours pas de rapport final de révision à mi-parcours de l’octroi de mer qui devait être remis fin décembre puis fin janvier à la Commission européenne.

L’ONU vient de déclarer, lors du Forum international de l’eau, que 3,6 milliards de personnes sur Terre vivent dans des zones où l’eau peut manquer au moins un mois par an.

L’avancée d’Ariane 6 pourrait être ralentie, voire compromise, à cause de l’instabilité politique qui touche l’Europe.

La bataille européenne en faveur d’une meilleure rémunération des auteurs et des créateurs à l’ère du numérique est en passe d’être gagnée.

La vente de tabac de taxes d’État et le duty-free seront exonérés de taxes locales dans les DOM menaçant les recettes des départements.

La Cour de cassation commerciale vient de juger que le fournisseur d’un éleveur en redressement judiciaire est responsable de l’aggravation de sa situation s’il s’ingère dans sa gestion et lui octroie des crédits ruineux.

La Cour de cassation commerciale rappelle qu’une banque qui accorde des prêts non conformes aux termes d’un accord de règlement amiable et qui multiplie les garanties ne caractérise ni une fraude, ni une immixtion dans la gestion, ni une disproportion des garanties entraînant sa responsabilité.